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vendredi 19 décembre 2014

Des spirantes, occlusives et autres complications dans la langue kabyle | Tamurt.info

Beaucoup d’encre a coulé au sujet de l’écriture du kabyle, de ses difficultés, et même de ses… impossibilités. Qu’on en juge : en un siècle de travaux et de recherches, on en est encore, en 2014, à se poser des questions sur la façon de “transcrire” les occlusives, siprantes, sifflantes, emphatiques et j’en passe.
19/12/2014 - 00:00 mis a jour le 18/12/2014 - 22:24 par Kader Akerma
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Il suffit de regarder : le résultat, la conclusion la plus probante, la plus indéniable est qu’on ne peut pas écrire le kabyle. Trop compliqué. La langue kabyle, hier dialecte, est aujourd’hui trop compliquée pour être écrite et lue sur une surface plane sous formes de signes visuels. Vous m’avez compris ? Mais c’est l’évidence : il faut se rabattre sur le français. Ou mieux : sur l’arabe, la langue qu’on enseigne en ce moment aux petits Kabyles, à l’âge où ils ne maîtrisent pas encore leur langue maternelle.
TROP COMPLIQUÉE ?
Car si le kabyle est trop compliqué pour être enseigné aux petits Kabyles, c’est-à-dire aux Kabyles de demain, l’Etat non kabyle qui domine en Kabylie et alentours fait de son mieux pour faciliter l’apprentissage de ses succédanées à nos enfants. Comme tout le monde sait, l’école est gratuite en Kabylie et la langue du colon est civilisatrice. Certaines langues mènent même aux paradis coloniaux… paradis non kabyles, mais cela on oublie de le dire. Un vieux de chez nous exclut d’entrer dans un paradis où on ne parle pas le kabyle, la langue de ceux qui n’ont jamais commis de massacres, qui n’ont jamais terrorisé ou colonisé un peuple.
Mais revenons à notre langue à ses impossibilités. Chez nous, quand quelqu’un feint de ne pas comprendre, on lui dit : “Je parle kabyle, oui ou non ?”, façon de dire que le kabyle est une langue qui transmet clairement la pensée. On dit aussi : “Je t’apprendrai le kabyle”, “ça ce n’est pas du kabyle”… C’est que le kabyle est une langue qui véhicule des valeurs, et se décline sur plusieurs niveaux. Ce n’est pas n’importe qui qui parle “le kabyle” ! Car comme langue vivante et civilisatrice, notre langue s’apprend tout au long de la vie. Sur plusieurs niveaux. Elle s’acquiert, elle se mérite, comme un trésor. Elle enrichit, et cela les colons le savent.
UN ALIMENT IRREMPLAÇABLE POUR L’ENFANT à l’âge où ils ont encore leurs dents de lait. Si nos enfants en sont à apprendre une langue étrangère, le rôle du chercheur kabyle n’est pas de montrer au Kabyle que sa langue est compliquée. Au contraire. Démontrons plutôt à nos enfants que leur langue est comme le colostrum de leur maman, qu’elle est irremplaçable, non compliquée, et qu’elle leur transmet une force qu’aucun autre aliment ne pourra leur donner.
Disons-leur que la fraternité et la bravoure ne se déclinent qu’en kabyle ! Que le goût du kabyle dans la langue de l’enfant (et de l’adulte) n’a d’égal que le miel des montagnes de Kabylie.
Désintoxiquons le cerveau de nos petits, et disons-leurs que leur langue maternelle est infiniment moins compliquée que celle des gaulois, cette langue impossible à maîtriser même pour les Français, et infiniment plus enrichissante que celle du bédouin venu d’Asie.
Disons à nos enfants que c’est le kabyle qui mène aux vrais paradis : celui de l’honneur, des libertés et des Hommes libres. Que le kabyle est la langue de l’espoir, la langue de l’avenir, de leur avenir à eux. Que leur avenir ne pourra pas se faire dans un idiome autre que le leur.
QUID ALORS DES LABIALES, SPIRANTES ET AUTRES NUANCES ?
Je dirai donc aux francisants et à ceux qui considèrent qu’écire le kabyle est compliqué à cause de ces spirantes et autres nuances, que l’alphabet kabyle se décline de façon simple et tout à fait enseignable. Inutile de nous noyer dans un verre d’eau.
  1. Pour ma part j’ai dénombré 31 consonnes et 3 voyelles. La grammaire que j’ai conçue fonctionne parfaitement avec cet alphabet. Sans cédilles ni chevrons ni points sous les lettres. Et encore : parmi ces 31 consonnes, certaines sont “d’importation” :
    - E [ein] comme dans aevin (le viatique), absent dans l’alphabet touareg
    - H comme dans Hrcav (il est rugueux), absent aussi dans l’alphabet touareg
    - P comme dans apulis : dans le temps on disait abulis pour apulis, lbusta pour lpusta, abaki pour apaki…
    - So comme dans souab (le bon sens).
A part le “p”, ces signes sont si souvent utilisés qu’on ne peut que les intégrer dans l’alphabet. Et rien n’interdit d’intégrer le “p”, qui ne peut qu’enrichir en renforçant le peuplement de l’alphabet.
Beaucoup, sans doute pour souligner la complexité de notre langue, parlent de sons spécifiques au kabyle, difficiles à prononcer pour l’étranger. Donc, vous l’avez deviné, trop compliqués pour être écrits. Sinon peut-être dans une écriture phonétique, c’est-à-dire non grammaticale…
C’est le cas de certains consonnes parfois prononcées “du bout des lèvres” par le locuteur kabyle : b, d, k, t, y. Je dirai aux “phonéticiens” que ceci est certes une réalité, mais une réalité phonétique, pas plus. C’est une affaire d’accents, qui ne doit donc
pas interférer dans la grammaire.
Les Amazighs du Sud les prononcent en occlusives. Les Kabyles partagent avec eux la même langue mère, et ne possèdent pas un alphabet propre différent des autres peuples amazighs. Inutile donc de croire que le “t” se décline en kabyle comme tantôt la 3ème tantôt la 4ème lettre de l’alphabet arabe. Ou que “d” se décline comme les 5ème et 6ème du même alphabet. Rien n’est plus faux.
Je vois aussi que certains Kabyles “réclament” un “v” à la française. Je leur dis tout de suite que cette consonne n’a jamais existé dans la langue kabyle. Elle n’est attestée dans aucune racine. Il ne nous appartient pas de l’inventer. Et que même dans les langues européennes elle est relativement nouvelle et plutôt instable, il suffit de voir la parenté livre/libraire, love/lieb, fièvre/fébrile… Inutile donc de détraquer les fondements de notre langue pour faire “différent”.
L’ALPHABET KABYLE
Les masculines
B ablado la pierre
D adurr le rang
G agnvi l’épée
Ho thori la largeur
Q tiqri le cri
Y uyur l’obstacle
Z izirdi la mangouste
Les féminines
C aclim le son
H lhara la cour
K akrmus le cactus
P lpumpa la pompe
S asif la rivière
T tusut la toux
X afrux l’oiseau
Les consonnes larges
Do adou le vent
So asourdi le sou
Zo arzo la guêpe
Les veuves
F afus la main
L ils la langue
M imi la bouche
N inisi le hérisson
R tarvla la fuite
Les compressions
Co coina l’orange (début et fin de mot)
Dt adtan la maladie
Go goiq j’ai laissé (début et fin de mot)
Qo iqour il est dur
To avito prend-la (début et fin de mot)
W zwaq il est rouge
Les semi-consonnes
E aebbudo le ventre
J ajur le mois
V tzvq le rouge
Les voyelles
A tayrfa le corbeau
I ifri la grotte
U ulmu l’orme
Autre phénomène compliqué : la classification des lettres de l’alphabet. Les pionniers de l’écriture du kabyle, tous francisants, ont copié la classification conventionnelle des consonnes : spirantes, occlusives, labiales, dentales… Cette classification, si elle est compréhensible pour des premiers travaux, n’en est pas moins inutile et non adaptée à la langue kabyle.
L’alphabet, pour être exploitable, doit en effet être agencé selon les parentés et les fonctionnalités des lettres qu’il contient. Et en Kabyle, c’est en masculines/féminines/veuves, larges (emphatiques), semi-consonnes et compressions que les consonnes se groupent. Le tout, avec les voyelles, formant l’alphabet.
Cette classification en groupes logiques trouve sa justification et son utilité dans les règles grammaticales qui régissent la langue. Ce qui fait un ensemble harmonieux sans fausses notes. Un système grammatical qui fonctionne.
Disons pour conclure que la langue kabyle n’est pas le fruit du hasard ou du chaos, et qu’il suffit d’en lire la grammaire pour être émerveillé du trésor d’intelligence qui la régit. Et pour être convaincu qu’elle s’écrit facilement et, surtout, grammaticalement. Qu’elle s’enseigne donc, y compris pour le non-kabyle.
Kader Akerma

jeudi 18 décembre 2014

Allons Enfants de la Mère Patrie... ! | Tamurt.info

Allons Enfants de la Mère Patrie... !

Contribution de Mohamed Benarous, pour Tamurt.info
L’Algérie exporte très peu vers la mère patrie la France. Parmi cela, nous comptons du pétrole, du gaz, des étudiants, des Haragas, et des oligarques. Et bien aujourd'hui, des imams formés à l’école Algérienne sont demandés pour leur savoir faire, rien que ça. Comme quoi, nous formons des élites qui sont appréciées à l’étranger !! Nous ne doutons aucunement des compétences, connues et reconnues, de ces prêcheurs, de ces sommités bien sûr !
18/12/2014 - 10:26 mis a jour le 18/12/2014 - 10:26 parMohamed Benarous
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En Algérie comme en Kabylie, leurs faits et gestes élogieux et glorieux sont justifiés notamment par plus de dix ans d’expérience durant la période 1990 et 2000 ayant causé plus de 250000 morts civils, auxquels s’ajoute une réussite à islamiser. C’est ainsi que la société laïque Kabyle, en espace de 10 ans, s’est islamisée et aujourd’hui quelques dairas résiste encore à ce changement de coutume et de mode de vie.
Il faut croire, que le mal installé en Algérie, et surtout en Kabylie, n’empêche nullement d’exporter des repenties, de la décennie noire Algérienne, de l’autre coté de la Méditerranée. Faut-il croire que ces assassins ne suffisent pas, un pays d’Europe, par l’intermédiaire de son ministre de l’intérieur a décidé d’importer des prêcheur Algériens. Comme quoi, ce pays, n’est jamais rassasier, il en redemande, et présentement, bien plus que des hommes de mains parfois avec du sang sur les mains. Cette nation introduit, pour répondre à une demande croissante de sa nouvelle population, des repenties théoriciens et idéologues salafistes.
Très connus en Algérie pour leurs prêches, surtout anti-israéliens, ces prêcheurs de haine, vont s’installer en toute impunité et en toute légalité dans le pays de Molière et de Montesquieu. 
Nous pensons qu’avec cet énième choix politique, les lumières s’éteindrons à jamais sur cette patrie qui a vu naître la première révolution contemporaine et populaire. Déjà, cette nation n’a pas réussi l’intégration des migrants et de leurs descendants, alors pourquoi chercher d’autres qui n’ont nullement la culture et l’histoire de la grandeur du pays de Napoléon, mais une haine viscérale du chrétien et du juif, sans oublier les athées, les agnostiques et les apostas ….
Nous doutons fort que cette société puissent être celle de jadis, Nous croyons même qu’ à terme elle deviendra une dépendance de l’une de ses anciennes colonies, par la démocratie. 
Dorénavant il faudra revisiter l’Histoire et modifier des Victoires en Défaites, tout comme celle de 1962, bien sûr nous parlons de celle de Charles Martel.
Mohamed Benarous, pour Tamurt.info

Kamel Daoud - On n'est pas couché 13 décembre 2014 #ONPC



Emission de France 2 „On n’est pas couché“ du13.12.14, de Laurent Ruquier
Kamel Daoud n'a pas réussi à défendre son algerianité face à une journaliste en l'occurrence Mme Salamé qui ne connait que l'Algérie arabe.
18/12/2014 - 01:00 mis a jour le 17/12/2014 - 23:22 par Hsen Ammour
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Le mépris prononcé envers l’algérien que Kamel Daoud a souligné être, les kabyles et les autres peuples d’Algérie a trouvé son renforcement dans la non-prise en compte de la remarque faite par le chroniqueur du journal „Le Quotidien d’Oran“ de ne vouloir être qu’algérien et que l’arabité n’est qu’un élément de sa culture. Il lui a expliqué qu’elle-même ne se déclare pas de nationalié latine mais juste que de nationalité française.
La bêtise de Mme Salame trouve son paroxysme en déclarant toute étonnée que les critiques faites par Kamel Daoud dans ses chroniques sur le résultat politico-social des prétendues révolutions arabes étaient très dures. 
Un algérien est pour Mme Léa Salamé et la plupart des médias français un « arabe » qui ne doit pas exercer de critiques trop acerbes à l’égard de son gouvernement et des pays musulmans et arabes.
Leur dictatur est soft, car les démocraties occidentales sont fortes. Mme Léa Salamé , citoyenne de la France, a utilisé le paternalisme des anciens colons. Elle n’a finalement pas trouvé d’opposition chez les arabophones algériens. Kamel Daoud n’a pas osé parler du printemps berbères de 1980 ou du printemps noir kabyle. Il aurait suscite la fureur non pas des algérianistes mais des arabistes neo-colonialistes qui veulent abatte la nation kabyle.
[Laurent Ruquier et son équipe n’ont jamais invité un écrivain kabyle. Les censeurs dans les médias parisiens veillent à ne pas s’attirer des ennuis de l’autre côté de la méditerranée. Les services de Paris ou d’ Alger agissent en parfaite harmonie, quand à museler l’opposition politique kabyle et algérienne. Ils y vont jusqu’à couvrir des assassinats comme celui d’André Mecili du FFS ou le fils de Ferhat Mehenni , président de l’Anavad (Gouvernement provisoire kabyle) par une justice française mise au pas pour raison d’état. Ce passe-par-tout est brandi par des gouvernements aux aguets pour assouvir souvent des intérêts économiques. 
Les grands médias français ne font pas honneur à la France, ce pays des droits de l’Homme, en déniant à la nation kabyle son existence, alors qu’elle reconnaît celle du Tibet.
Kamel Daoud a annoncé d’ailleurs pendant cette émission vouloir défendre le Tibert. Alger n’est évidemment pas Pékin. S’opposer à la Chine, pays concurrentiel dans la politique mondiale, est plus honorable que de s’opposer à un pays qui rejette son identité pour importer une autre, du Moyen-Orient. 
Laurent Ruquier et son équipe devrait faire des investigations pour faire connaître au public français et d’ailleurs, que le printemps berbère a eu lieu bien avant le pseudo « Printemps arabe ».
Hsen Ammour pour Tamurt.info

mercredi 17 décembre 2014

Le dénigrement de "la culture ancestrale" fait le tour du monde !..dernière étape en date : OSLO, novembre 2014

Le dénigrement de "la culture ancestrale" fait le tour du monde !..dernière étape en date : OSLO, novembre 2014

17/12/2014 - 16:29


OSLO (SIWEL) — Le 26 novembre dernier, la maison de la littérature d’Oslo (Norvège) a organisé un débat autour d’un documentaire intitulé « Le voyage de Nadia ». Celui-ci est réalisé par femme qui se prétend être une féministe algérienne d’origine kabyle, mais le reportage est en réalité une œuvre de propagande algérianiste destinée à faire croire au monde entier que la Kabylie, c’est encore pire que Kaboul... car selon la réalisatrice Nadia Zouaoui, la condition de la femme en Kabylie est due à la culture ancestrale kabyle (qui enferme, violente et maltraite la femme) et non aux lois islamiques qui n’ont rien à voir avec la condition de la femme kabyle… Retour sur un reportage de propagande anti-kabyle.


Fadhma N Summer était le commandant en chef de la résistance kabyle au colonialisme français et l'on se demande comment une femme issue d'une culture où les femmes sont cloîtrées et vendues a pu en arriver à commander les hommes.( PH/DR)
Fadhma N Summer était le commandant en chef de la résistance kabyle au colonialisme français et l'on se demande comment une femme issue d'une culture où les femmes sont cloîtrées et vendues a pu en arriver à commander les hommes.( PH/DR)
Sponsorisé par le Canada, avec l’aimable concours de l’ambassade d’Algérie au Canada et la chaine arabe du Qatar Al Djazira, la projection et le débat autour de ce documentaire de propagande anti-kabyle est actuellement en tournée mondiale. Le 26 novembre 2014, il était donc programmé la maison de la littérature d’Oslo. Heureusement, il existe en Norvège quelques grains de sables kabyles qui ont pris l’habitude d’aller enrayer la machine algérienne de l’assimilation arabo-islamique, partout où il se manifeste dans ce pays nordique. Nos grains de sables kabyle étaient donc là pour remettre les pendules à l’heure et démasquer la propagandiste, et très zélée, Nadia Zouaoui. 

L’évènement, qualifié de documentaire sur la condition de la femme en Kabylie, est présentée par monsieur l’ambassadeur du Canada, lui-même. Celui-ci est, bien sûr, accompagné de l’ambassadeur d’Algérie. Les débats sont sensés se dérouler en leur présence mais à la fin du documentaire, juste avant les débats, les deux ambassadeurs vont très discrètement s’éclipser après avoir a repéré, dans la salle, l’un des « perturbateurs » kabyles qui avaient déjà ridiculisé le Festival de musique du Monde à Oslo (voir notre article à ce sujet). Les deux ambassadeurs prennent la fuite et évitent le débat, laissant Nadia seule face à la « remise en place ». 

Le fameux documentaire visionné est soi-disant l’autobiographie de la réalisatrice algérienne « d’origine » kabyle qui raconte l’histoire d’une jeune fille de 19 qui part rejoindre au Québec un mari algérien, deux fois plus âgée qu’elle, à la suite d’un mariage « arrangé ». 

18 ans après, la jeune fille « donnée en mariage » par son père parle de virginité, d’honneur, de violence, d’enfermement et de crimes d’honneur dont les femmes seraient victimes en Kabylie … bien plus que partout ailleurs en Algérie. A l’entendre, on pourrait croire que Kaboul, ça se trouve en Kabylie ! 

la jeune fille kabyle est donc sensée être vendue par son père selon la culture ancestrale ( PH/DR)
la jeune fille kabyle est donc sensée être vendue par son père selon la culture ancestrale ( PH/DR)
Dans son reportage de propagande, la salariée d’Aldjazira TV insinue que les pratiques rétrogrades et obscurantistes qu’elle dénonce sont dues à la culture kabyle en elle-même et non à l’Islam, oubliant que le code de la famille algérien, qu’elle critique soi-disant, est directement inspiré de la Charia islamique. Mais non, d’après Nadia Zouaoui, c’est dû à la culture kabyle et avec son documentaire, elle décrit l’ampleur de la tragédie des femmes kabyles ; une tragédie dans laquelle les hommes sont prisonniers d’une culture ancestrale ; la culture ancestrale étant bien entendu la culture kabyle. 

C’est donc la victime, Nadia Zouaoui, qui réalise elle-même son documentaire dans son village natal, à Tazmalt, en Kabylie (ce n’est pas sure que les femmes de Kaboul puissent en faire autant) ; et c’est son petit papa chéri, précisément celui qui l’a forcée à se marier à un « vieux », qui fait le guide pour que sa pauvre fille fasse toute la démonstration de la désastreuse « condition de la femme kabyle » qu’il lui a lui-même fait subir (très curieux tout de même)….. Et bizarrement, la victime de ce fameux mariage forcé ne semble pas du tout en vouloir à son petit papa chéri qui a gâché sa vie et sa jeunesse. Par contre, elle en veut énormément à la culture kabyle qu’elle rend exclusivement responsable de ce mariage contracté par son propre père… 

Le comble de ce reportage c’est que cette réalisatrice, Nadia Zouaoui, dénonce soi-disant le code de la famille algérien, mais elle omet de préciser que les lois de ce code sont directement inspirées de la charia islamique…, car l’essentiel pour cette « kabyle » dont il est important de préciser qu’elle travaille en collaboration avec les ambassades d’Algérie et du Canada …pour le compte de la TV arabe Qatari : Al Djazira, c’est de mettre en cause la culture kabyle et dédouaner la culture arabo-islamique des graves conséquences qu’elle a sur les cultures qu’elle a eu à approcher… 

même Les vieille femmes kabyles s'opposent à la police algérienne ( PH/DR)
même Les vieille femmes kabyles s'opposent à la police algérienne ( PH/DR)
A la fin du documentaire, c’est enfin l’ouverture des débats. Mais les deux ambassadeurs, celui du Canada qui sponsorise l’évènement, et celui d’Algérie qui collabore à l’évènement, se sont discrètement éclipsés après avoir remarqué la présence des « grains de sables kabyles » qui ont la fâcheuse habitude de venir « enrayer la machine » de l’assimilationnisme arabo-islamique algérien partout où il se produit en Norvège. 

L’algérienne Nadia, malheureuse réalisatrice d’origine kabyle, est donc lâchement abandonnée et se retrouve seule au public convié à débattre de cette horrible culture kabyle qui fait un si triste sort aux femmes. Les débats se réalisent autour d’un petit banquet avec au menu : Petit four, vin blanc, vin rouge, jus de pomme etc… 

Ainsi, à l’ouverture des débats avec le public, de nombreuses questions ont été posées dont la plus importante est celle-ci : « Est-ce que la situation des femmes kabyles est due à la culture environnante ou à l'Islam » ? 

Là-dessus, contredisant de facto l’image véhiculée par le documentaire, les Kabyles présents dans le débat se sont tout de suite insurgés contre l’image de la culture kabyle véhiculée par ce « documentaire ». Ils ont rappelé que la Kabylie a de tout temps été laïc et que c’est l'état algérien, qui est une dictature arabo-islamique, qui impose aux kabyles le code de la famille, inspiré de la loi islamique. Ils rappelleront aussi que c’est uniquement en Kabylie, et nul pas ailleurs, qu’il y a eu des manifestations contre ces lois d’inspiration islamique et qui réduisent les libertés des femmes. 

Katia bengana a été assassinée pour avoir refusé le voile, elle était kabyle ( PH/DR)
Katia bengana a été assassinée pour avoir refusé le voile, elle était kabyle ( PH/DR)
D’autres intervenants ont demandé pourquoi dans ce reportage, la seule femme Kabyle qui s’est montrée avec un foulard en train de faire la prière islamique n’est autre que Nadia Zouaoui elle-même ? C’est à dire l’auteur du reportage et là, ce fut un grand moment de solitude pour Nadia Zouaoui qui n’a trouvé aucune explication à fournir pour cet étrange accoutrement pour clôturer son documentaire… 

Ensuite, une femme norvégienne, ayant vécu trois ans en Algérie, intervient à son tour et elle fait remarquer à la réalisatrice algérienne qu’elle « ne reconnaissait pas du tout la Kabylie » telle qu'elle la présente dans son reportage. 

Une autre norvégienne qui a également vécue en Algérie dit la même chose et précise même que c'est seulement en Kabylie qu'elle avait pu voir une certaine liberté et un certain respect des femmes qui pouvaient circuler librement sans se faire insulter ou harceler et que c’était encore uniquement en Kabylie que la religion et la consommation d'alcool (ou non) était une affaire de liberté individuelle, contrairement aux autres régions d’Algérie où il y avait beaucoup d’hypocrisie par rapport à ces questions... 

Alors acculée de toute part, et très ennuyée d’avoir été reconnue comme étant la femme kabyle qui prie avec un foulard sur la tête à la fin du documentaire, une posture qu’elle a été incapable de justifier, Nadia Zouaoui a été obligée de se rétracter et de dire que ce n’est pas de la société kabyle qu'elle parle mais de sa « vie prive » ; alors qu’elle avait soutenu exactement le contraire dans son reportage. Mais un des kabyles présents lui fait remarquer que ce n’était pas possible que l’ambassade du Canada dépense une fortune pour promouvoir, à travers l’ensemble de ses ambassades dans le monde, la vie privée d’une seule personne. Cet intervenant a soutenu que le Canada préservait plutôt ses intérêts avec la mafia algérienne avec laquelle plusieurs contrats avaient été signés et qu’en contrepartie, il servait de relais à la diabolisation de la Kabylie. 

les femmes kabyles ont toujours été à l'avant garde du combat pour leurs droits en tant que femmes et en tant que kabyles (PH/DR)
les femmes kabyles ont toujours été à l'avant garde du combat pour leurs droits en tant que femmes et en tant que kabyles (PH/DR)
De plus, poursuit le kabyle, cette femme, fait son reportage en petite jupette et les cheveux à l’air libre durant tout le reportage et elle finit son pseudo documentaire avec une scène ahurissante où c’est elle-même qui se met en scène en train de faire la prière islamique avec un voile sur la tête et elle veut nous faire croire que c’est ça la condition de la femme. Elle fait aussi parler des très vielles femmes kabyles qui témoignent que leur maris les avaient battues, comme si la violence faite aux femmes était une spécificité kabyle ou que c’était une invention kabyle ! 

« Cette femme qui se fait financer par l’ambassade du Canada et le Qatar, qui se fait parrainer par l’ambassade d’Algérie au Canada veux faire croire au monde entier que c’est de la Kabylie que s’inspire Kaboul » confie un autre kabyle à la norvégienne qui disait ne pas reconnaitre la Kabylie telle que Nadia Zouaoui la décrivait. 

La malhonnêteté intellectuelle de ce reportage est sidérante. Partant de son cas particulier pour le généraliser à toute la Kabylie, la réalisatrice prétend dépeindre la culture ancestrale des kabyles comme étant une culture particulièrement rétrograde envers les femmes. Quand Nadia parle de l’enfermement des femmes kabyles, elle oublie de dire que cet enfermement n’a (autrefois) existé que chez les dignitaires religieux de la Kabylie, c'est-à-dire les marabouts et encore, uniquement chez la bourgeoisie maraboutique et que ceux-ci se réclamaient non pas de la « culture ancestrale » mais précisément de la culture islamique … 

Quant aux autres kabyles, y compris chez les marabouts « désargentés », les femmes travaillent dans les champs, cueillent les olives, le bois et les figues, elles vont à la fontaine et rendent visites librement au voisinage. Faut-il rappeler que c’est sous le commandement d’une femme, qui plus est maraboutique, que les kabyles ont résisté à la conquête française ? 

On se demande si Nadia Zouaoui peut aller au Qatar avec cette liberté vestimentaire que lui permet son statut de femme kabyle mais pas de femme arabo-musulmane ( PH/DR)
On se demande si Nadia Zouaoui peut aller au Qatar avec cette liberté vestimentaire que lui permet son statut de femme kabyle mais pas de femme arabo-musulmane ( PH/DR)
Qui peut nier que Fadhma N Soumer était une femme, qu’elle était kabyle et marabout et qu’elle était chef spirituel et chef de guerre de la Kabylie ? Qui peut nier que Katia Benghana était une jeune lycéenne kabyle qui a été assassinée parce qu’elle refusait le voile islamique ? Qui peut nier que Nabila Djahnine était une militante kabyle féministe assassiné par les hordes islamiques ? Qui peut nier que seules les femmes de Kabylie manifestent en masse contre le code de la famille ou contre l’Etat algérien qui assassine ses enfants au nom de l’identité algérienne arabo-islamique ? 

Quelle honte pour cette Nadia Zouaoui, car quand elle parle de la violence qui est faite aux femmes en Kabylie, elle assure et veut convaincre le public que cette violence est issue de la culture kabyle et non de l’Islam. Elle parle comme si dans l’islam il n’existait aucun verset coranique qui parle du « droit » du mari à frapper son épouse s’il en craint la désobéissance…Et pourtant ce verset existe bel et bien, tout comme, dans le monde entier, y compris en France, au Canada, aux USA, la violence qui est faite aux femmes fait plus de victimes que le cancer ou le sida. 

Pour rappel, selon les chiffres de l’OMS : En Australie, au Canada, en Israël en Afrique du Sud et aux États-Unis, 40 à 70 % des femmes victimes de meurtre ont été tuées par leur partenaire. En France, le plus grand pays des droits de l’homme, une femme meurt sous les coups de son conjoint tous les 2 jours et en Algérie c’est 4 fois plus…alors en quoi, la violence faite aux femmes serait une tare spécifiquement kabyle ? 


CONCLUSION : Le comble de cette affaire, c’est que cette algérianiste produit ses reportages de propagande avec des financements de la chaine arabe du Qatar Aldjazira : 
Le premier pour stigmatiser la Kabylie et la présenter comme une entité culturelle rétrograde qui méprise la femme, l’enferme et l’asservie et que la condition de la femme en Kabylie n’a rien à voir avec l’islam et que c’est dû à la culture kabyle uniquement ; 
Le second film documentaire a été réalisé pour dénoncer l’islamophobie de l’occident depuis les attentats du 11 septembre… «Fear, anger and politics» ( peur colère et politique) 
Et pour son troisième film documentaire, cette algérienne projette de le faire prochainement sur MATOUB LOUNES ! 

kh, 
SIWEL 171629 DEC 14 

Albert Ebossé a fait les frais de la politique raciste algérienne !

Albert Ebossé a fait les frais de la politique raciste algérienne !

17/12/2014 - 17:29


DOUALA (SIWEL) — Le rapport d’autopsie indique clairement qu’Albert Ebossé a été assassiné dans les vestiaires du stade de Tizi-Ouzou. La thèse officielle algérienne selon laquelle le joueur camerounais aurait été tué par des supporters kabyles « enragés » tombe à l’eau et met à nu les mensonges éhontés des institutions officielles algériennes. Ce n'est pas un hasard si Albert Ebossé a été assassiné en Kabylie sous les couleurs de la mythique JSK, avec tout ce que cela implique comme charge symbolique et émotionnelle pour la Kabylie. L’Etat algérien n’a pas hésité à faire assassiner un jeune et talentueux footballeur pour assouvir son besoin maladif de briser coute que coute la Kabylie. Hannachi, en proxénète grassement rémunéré, n’est que le misérable cheval de Troie qui a ouvert les portes de la JSK à l’infamie!


Albert Ebossé a fait les frais de la politique raciste algérienne !

Sur la base des clichés insoutenables, le médecin légiste, Dr. Mouné André démontre que «Ebosse a été froidement assassiné» à la suite d’une violente agression. Le compte rendu de l’examen de la dépouille d’Albert Ebosse, qui tient sur 15 pages, présente à sa dernière feuille la conclusion suivante: «M. Albert Ebosse Bojongo est décédé des suites d’une agression brutale avec polytraumatisme crânien », indiquant clairement qu’Albert Ebossé a été brutalement immobilisé avant de se faire massacrer. 

Le rapport présente pas moins de cinq lésions qui contredisent carrément la version officielle des autorités algériennes qui ont toujours affirmé qu’Albert Ebossé avait reçu un projectile lourd et tranchant sur la tête de la part des supporters de la JSK, avant de rentrer dans le tunnel menant aux vestiaires du stade de Tizi-Ouzou. Le Dr.André Mouné n’a pas hésité à parler d’une « volonté de dissimulation » en Algérie. 

En faisant croire que c'étaient les supporters kabyles qui avaient assassiné Ebossé avec un jet de pierre, l’Etat algérien cherche à faire croire au monde entier que les kabyles, eux-mêmes victimes du racisme arabo-islamique algérien, sont en réalité de gros racistes. L’objectif est donc de neutraliser le discours kabyle qui cherche à dénoncer le racisme dont ils sont victimes et discréditer ainsi la lutte des kabyles pour leur émancipation de ce pouvoir algérien fondamentalement raciste. C’est exactement la même logique qui a amené à l’assassinat d’Hervé Gourdel en Kabylie par des « terroristes islamistes », sachant que la Kabylie a toujours été fondamentalement hostile à l’islamisme qu’elle a combattu depuis les débuts de la lutte de libération algérienne à travers le mouvement des Oulémas, précurseurs du fondamentalisme islamique algérien. Pour brises l’image de la Kabylie, l’Etat algérien a implanté ses terroristes repentis dans les mosquées de Kabylie. Les logements sociaux des grandes villes sont prioritairement attribués aux islamistes, repentis ou non. 

Dans l’Affaire Ebossé, depuis le début, les gens savaient en Kabylie qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas dans cette affaire, la preuve est aujourd'hui révélée au grand jour. Ce ne sont pas les supporters kabyles de la JSK, injustement accusés, qui ont tué Albert Ebossé mais bel et bien des barbouzes au service de l’Etat algérien et du détestable Hannachi sévissant en véritable proxénète dans le mythique club de la JSK pour le compte de l’Etat algérien. Car tout le monde sait que la JSK a longtemps été le terrain d’expression de la contestation identitaire kabyle. Par conséquent, la JSK était à détruire absolument et c’est Hannachi qui a été chargé de cette scélérate mission. 

Les joueurs de la JSK, quant à eux, doivent parler ou alors ils seront complices de cet abominable crime! 

Albert Ebossé a hélas fait les frais de la politique criminelle de l’Etat algérien et des magouilles du président de la JSK, qui a pris en otage ce club mythique ! 


La JSK doit maintenant être restituée à l’Histoire de la Kabylie et retirée des griffes de ces criminels qui ont juré de faire plier la Kabylie. 

maa, 
SIWEL 171729 DEC 14

L’Algérie menacée par une crise économique | Tamurt.info

Chute libre des prix du pétrole
ALGERIE (Tamurt.info) - Les prix des hydrocarbures sont en chute libre. L’économie algérienne est plus que jamais menacée, alors qu’aucune politique de substitution n’est prévue. La fin de la manne pétrolière est imminente. L’avenir de ce pays semble lugubre.
17/12/2014 - 10:53 mis a jour le 17/12/2014 - 10:53 par Saïd F.
C’est le moment ou jamais pour la Kabylie de se dissocier de cette « nation » préfabriquée par le colonisateur Français. La Kabylie qui a perdu sa souveraineté depuis 1871 doit prendre son destin en main. Quel sera l’avenir de cette Algérie sans les recettes du gaz et du pétrole ? Déjà avec des milliards de dollars dans les caisses, les Algériens ont vécu toutes les misères, le scenario de la crise économique, des années 1980 est toujours vivace dans la mémoire de tous les citoyens. Alors que dire maintenant que la crise s‘annonce plus aigue et surtout très longue ! La Kabylie pourra s’en sortir toute seule sans le reste de toute l’Algérie. C’est une région qui recèle d’abord des richesses naturelles, comme l’eau, et une richesse humaine (matière grise), sans parler des potentialités touristiques ainsi que sa situation géographique qui longe la méditerranée et sa proximité avec l’Europe.
La Kabylie sera certainement la région qui orchestra les conséquences les plus néfastes et les plus accrues de la chute des prix des pétroles. Les Kabyles sont appelés, avant qu’il soit trop tard, à se dissocier de l’Algérie. 
Il n’est guère utile de rappeler ici que les richesses naturelles de la Kabylie font objet de convoitise de la part du régime raciste d’Alger. Citons, entre autres le pillage du sable, l’exploitation du gaz du schiste, la guerre contre dame nature ou les services sécuritaires « effacent » annuellement des superficies importantes de patrimoine forestier en Kabylie, sans parler de l’envoi de terroristes dans cette région.
Saïd F.

Algerie - Hamidouche - Inas Inas (Full Album) HD1080

mardi 16 décembre 2014

Bouteflika demande de visiter sa ville natale au Maroc | Tamurt.info

Alors qu’il a été admis de nouveau en urgence dans un hopital à Paris
Le chef de l'Etat Algérien est de nouveau évacué en urgences vers l'hôpital du Val de Grâce à Paris depuis ce matin, selon des sources concordantes et vérifiées. «Il est dans un etat critique» ajoute notre source.Sa famille est dans l’embarras le plus absolu. Abdelaziz Bouteflika, juste avant de son évacutaion, et qu'on dit a perdu ses facultés mentales, a émisle le vœu de se rendre dans sa ville natale, Oujda, au Maroc.
16/12/2014 - 17:16 mis a jour le 16/12/2014 - 17:16 par Saïd F.
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Notre source précise que Bouteflika veut vivre ses derniers jours « chez lui au Maroc ». « Bouteflika souffre énormément et il ne sait même plus qu’il est président ». Déjà l’année passée, son frère Saïd avait entrepris des travaux de réfection dans leur villas familiale à Oujda, dans le but de satisfaire les exigences de leur frère qui voulait passer quelques jours « chez lui », avait révélé le journal El Watan.
« Saïd Bouteflika avait demandé au Marocains de ne pas révéler le déplacement de son frère au Maroc pour y passer quelques jours. Les marocains n’ont rien voulu entendre, pour la simple raison qu’ils ont peur de voir Bouteflika mourir et être accuser d’assassinat », ajoute notre source. L’affaire s’est arrêtée là à l’époque, mais l’enfant d’Oujda est revenu à la charge et avec insistance. Il a réitéré son désir mais cette fois-ci Bouteflika veut rester jusqu’à son dernier souffle à Oujda.
Notre source précise que sa famille refuse de le ramener à Oujda en évoquant le motif qu’il ne jouit plus de ses facultés mentale ! Sic ! Puisque Bouteflika est dans une incapacité mentale et physique, comment gère-t-il tout un pays comme l’Algérie ? Qui dirige ce pays ?
Saïd F.