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samedi 18 mai 2013

Un général-major algérien se confesse sous le sceau de l’anonymat | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie


Reconnaissant avoir, avec ses acolytes, pillé les richesses du pays, un pseudo-membre de la brochette de décideurs algériens a fait des révélations, les concluant par cette phrase : "Je reste anonyme pour le moment. Bientôt paraîtront de nombreux dossiers, avec des détails qui surprendront l’humanité entière. Je regrette mes crimes. Je ne demande même pas pardon, parce que mes crimes sont impardonnables."
18/05/2013 - 21:16 mis a jour le 18/05/2013 - 15:24 parMassidida
Reprise par un site Internet, une confession étrange fait le tour du pays depuis plusieurs semaines. Une lettre signée sous le pseudo de général- major X, fait un tapage en ce moment et pour nos lecteurs, nous avons repris quelques passages qui confirment que l’Algérie a toujours été la propriété privée des décideurs.
Reconnaissant avoir, avec ses acolytes, pillé les richesses du pays, un pseudo-membre de la brochette de décideurs algériens a fait des révélations, les concluant par cette phrase : « Je reste anonyme pour le moment. Bientôt paraîtront de nombreux dossiers, avec des détails qui surprendront l’humanité entière. Je regrette mes crimes. Je ne demande même pas pardon, parce que mes crimes sont impardonnables. De toutes les façons, l’inéluctable est à ma porte. Je dois bientôt comparaître devant le juge suprême. Puisse cette confession plaider pour moi ».
Il enchaînera en conseillant ces mêmes concitoyens qu’il a maltraités des années durant. « Si les Algériens parviennent à se libérer, sans intégrer l’évidence que la cause de leur malheur est bien plus importante que le piètre régime qui les a colonisés, alors ils tomberont de Charybde en Scylla. Il importe, avant de revenir sur les pénibles circonstances qui ont plongé notre pays dans le malheur, qu’ils soient situés dans leur contexte, que les mécanismes qui les meuvent, et qui sont au cœur même de la nature humaine soient mis en lumière. On a souvent tendance, lorsqu’on stigmatise un régime prédateur, de faire comme s’il était la conséquence d’abus, et de dysfonctionnements endogènes. Et pour bien accentuer toute sa monstruosité, on s’évertue à le comparer aux démocraties occidentales. Pour toutes les âmes simples, il n’y a pas photo, comme on dit. D’un côté un régime atroce, une association de malfaiteurs, qui concentre entre ses mains l’ensemble des pouvoirs, qui opprime ses concitoyens et qui les dépouille, qui érige des façades d’Institutions, juste pour faire semblant, et de l’autre, des Etats démocratiques, avec de vraies élections, de vrais élus du peuple, un partage des pouvoirs entre de vraies Institutions, le respect des Droits de l’Homme, une presse libre, et tutti quanti ».
Serait-ce une confession ou tout simplement un coup monté à inclure dans une autre guerre des clans au pouvoir ?
Massidida

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