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mercredi 1 août 2012

Recherche scientifique : Dr. Hamid Ait Abderrahim, le Kabyle qui a atomisé les secrets du nucléaire

Recherche scientifique : Dr. Hamid Ait Abderrahim, le Kabyle qui a atomisé les secrets du nucléaire
01/08/2012 - 13:02


ITALIE (SIWEL) — Un autre chercheur physicien kabyle qui s'est distingué dans le domaine du génie nucléaire, il s’agit du Dr. Hamid Ait Abderrahim, celui qui « a atomisé les secrets du nucléaire », tel qu’on le surnomme en Belgique.

Le Prof. Dr. Hamid Aït Abderrahim est directeur général adjoint du SCK•CEN, le Centre d'Etude de l'Energie nucléaire belge, établi à Mol. En outre, il enseigne avec passion la physique des réacteurs et le génie nucléaire à l’Université Catholique de Louvain (UCL) à l’Ecole Polytechnique de Louvain (EPL). 


Pour lui, le propre de l’ingénieur est d’aboutir à des solutions réalistes et fonctionnelles, au départ des moyens disponibles. 
A 16 ans, Hamid Aït Abderrahim est littéralement tombé amoureux du nucléaire, lors de la dernière séance du cours de physique de sa cinquième année secondaire, en Algérie, où cette révélation surgit grâce au cours consacré à la radioactivité. En 1979, à l’âge de 18 ans, il arrive en Belgique poursuivant avec pugnacité l’objectif de devenir Ingénieur en énergie nucléaire. 
Il obtint son titre d’Ingénieur Industriel en énergie nucléaire, en 1983. Ce fut pour lui l’occasion d’un premier contact avec le centre d’étude de l’énergie nucléaire (SCK•CEN), dans le cadre de son TFE. En 1984, au terme d’études complémentaires en France, il décrochera son DEA (Diplôme d’ Etudes Approfondies), en physique des réacteurs. A partir de 1984, il s’est inscrit pour un doctorat en physique des réacteurs, à Paris, avec son travail de recherche accompli à Mol. Depuis 1998, il est directeur du projet MYRRHA. 
Le Projet MYRRHA conçu par le chercheur physicien kabyle, Dr. Prof. Hamid Ait Abderrahim et ses collaborateurs au SCK-CEN de Mol, Belgique, est un système hybride couplant un réacteur de fission nucléaire piloté par un accélérateur de protons : Accelerateur Driven System (ADS). Ce sera donc un nouveau type de réacteur de quatrième génération: le premier de sa génération au monde. Le Prof. H. Ait Abderrahim se propose ainsi de relever le défi en ingéniérisant l'idée théorique émise par le prix Nobel de Physique, l'Italien Carlo Rubbia. dans les années 1990. Ce sera une véritable prouesse technologique. Pour sa réalisation, le gouvernement belge ne lésine pas sur les moyens financiers : dès 2010, il a débloqué un budget de départ s'élevant à 940 millions d'Euros. L'inauguration de l'ADS MYRRHA est prévue pour 2020.  Le projet d'infrastructure belge de recherche en fission nucléaire MYRRHA, situé à Mol, a été reconnu parmi les 50 projets prioritaires du forum stratégique européen sur les infrastructures de recherche (ESFRI). La Commission européenne, à travers son programme "l'Union pour l'innovation", a pour objectif de voir lancer pour 2015 la construction de 60 pc de ces 50 projets prioritaires, principalement financés par les États membres, avec un soutien européen. La construction du réacteur de Mol coûtera près d'un milliard d'euros, dont 40 pc financés par l'Etat fédéral. Le solde sera financé par les partenaires internationaux et l'industrie. Avec sa reconnaissance comme infrastructure prioritaire, MYRRHA bénéficiera, à l'avenir, d'un statut privilégié et d'un accès à un réseau de partenaires européens, dont certains apporteront des financements.  Dahman At Ali  Siwel 1 1303 Aout12

Les islamo-collabos du CIO acceptent le voile de la judoka saoudienne | Riposte Laique

Les islamo-collabos du CIO acceptent le voile de la judoka saoudienne
Posted on 31 juillet 2012 by Pierre Cassen - Article du nº 262
J’avais déjà fait part, dès le lendemain de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres, du premier record olympique battu, celui du nombre de voiles islamiques.


Il y a quatre ans, à Pékin, nous avions vu les premières tentatives, ponctuées de succès, de recouvrir les sportives musulmanes, par la présence d’une sprinteuse du Barhein, qui avait atteint les demi-finales.


 Profitant de messages encourageant de la Fédération Internationale de Football (Fifa), qui vient d’autoriser le port du voile dans les compétitions internationales de football, les Saoudiens ont entamé un bras de fer avec le Comité International Olympique (CIO), quant à la présence d’une des deux athlètes sélectionnées, sur les tatamis de judo.


http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/jo-2012-la-judoka-voilee-ne-sera-pas-privee-de-tatami-7433930.html


L’autre sélectionnée, athlète de 800 mètres, en athlétisme, ne devrait pas, à l’instar de la sprinteuse du Barhein il y a 4 ans, avoir de problème pour que les mâles en rut ne puissent pas voir des parties dénudées de son corps livrées à leur regard concupiscent. Mais au judo, pour des raisons de sécurité, le règlement international est strict, on ne doit rien avoir sur la tête, le seul vêtement autorisé est le kimono, avec une ceinture.


Que croyez-vous qu’il arrivât ? Les Saoudiens, par leur fédération, et le père de la judoka (qui ne peut se déplacer qu’avec un accompagnant, qui la tient par la main, des fois que…) menacèrent de retirer leur compétitrice. Comment croyez-vous que le CIO réagit ? En menant des discussions serrées… quant à la manière acceptable de porter le voile ! La Fédération Internationale de Judo, d’un trait de plume, en pleins Jeux Olympiques, a accepté de bafouer ses règles, sous la seule pression de l’islam ! Autrement dit, un nouveau pan vient de tomber, dans le sport international, où l’islam a réussi à faire reculer l’universalisme, en imposant aux instances internationales l’infâme voile islamique sur les tatamis de judo.


Certes, on pourrait ironiser en disant qu’à la place de l’adversaire de la Saoudienne, qui ne fera probablement qu’un seul tour, la combine est facile, pour gagner : au lieu d’empoigner le kimono, agripper le voile, et, profitant du désarroi de l’athlète dénudée, procéder à un balayage rapide, qui devrait conclure le combat en quelques secondes. On pourrait s’amuser en se disant qu’il est grave que des hommes puissent la voir combattre, et que finalement, les Saoudiens prennent quelques libertés avec les textes sacrés. On pourrait ricaner en imaginant le Vatican, dans quatre ans, demander à ce que les judokas sélectionnés combattent en soutane, ou des moines exiger la robe de bure… 


Mais l’affaire est autrement plus grave. C’est une trahison supplémentaire de la charte olympique, dont l’article 51 interdit aux athlètes d’afficher une appartenance politique, raciale ou religieuse. C’est surtout un véritable coup de poignard à la cause des femmes, et à toutes les athlètes de pays musulmans qui, telle l’Algérienne Hassiba Boulmerka, infligeait, par la tenue de femme libre affichée, une défaite idéologique aux intégristes.






Il est dommage que les journalistes n’aient pas cru bon d’interroger François Hollande, présent hier à Londres, sur cette question. Les circonvolutions habituelles du président de la République, sur tout sujet sensible, auraient été succulentes à écouter. On attend avec impatience, sur ce nouveau scandale, les réactions de la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, et de Najat Belkacem, bien silencieuse sur le droit des femmes quand c’est l’islam qui les remet en cause.


Le  Comité International Olympique, présidé par le Belge Jacques Rogge, montre une nouvelle fois, à travers ce peu glorieux épisode, son allégeance aux pétrodollars des pays musulmans, au détriment de l’idéal olympique. Ce n’est même plus une surprise. Il est vrai qu’entre le CIO et l’OCI, il n’y a qu’une simple inversion de lettres.


Pierre Cassen

Photo de otorram sur Netlog

Photo de otorram sur Netlog

J’ai préféré publier sous forme d’article, les écrits, très intéressants, de miss Nath Hamiche. Il aurait été dommage de les noyer dans le flot de commentaires.


Je me demande comment un Kabyle ou un non-Arabe peut accepter l’islam. Doctrine qui prépare un individu pour son propre emprisonnement, son propre asservissement pour ne pas dire esclavage, sa soumission, le reniement de ses ancêtres, de sa culture, de son identité, de sa civilisation, de sa langue, etc.


Pour commencer tout ce qui est islamique (musulman) est en fait lié aux Arabes c’est-à-dire la “culture” arabe, les croyances arabes, la pensée arabe, la littérature arabe, les lieux saints arabes, les traditions arabes, les vêtements arabes, la politique arabe et assurément l’impérialisme et l’hégémonie arabe. Si on examine de près la doctrine musulmane en utilisant la logique et la pensée critique.


Qu’est ce que l’islam ? 
Un concept, une idée, un système de croyance ne crée pas de civilisation. Les plus grandes civilisations de l’histoire, sur laquelle repose la civilisation actuelle, n’étaient pas monothéistes, mais plutôt polythéistes. Personne ne parle de civilisation chrétienne, hindoue ou juive.


L’islam est un concept basé sur une croyance en un seul et unique Dieu Allah à qui les musulmans croient. Parler d’une civilisation islamique est complètement dénué de sens spécialement quand nous savons qu’en vérité les conquérants arabes étaient surtout des tribus nomades sans aucune civilisation (voir Ibn Khaldoun). On ne peut pas discuter de science, d’art, de philosophie, de politique, etc. sous l’égide de l’islam arabe. Le prototype de la civilisation arabe est le talibanisme (taliban en Afghanistan ou ce qu’on appelait « tolba » chez nous avant l’invasion par les « tolba » du Moyen Orient). L’islam n’encourage pas la recherche intellectuelle, car elle est jugée dangereuse pour la foi du croyant. La meilleure connaissance qui est acceptée est celle qui est utile pour la pratique de la religion.


Ibn Khaldoun, né en Tunisie 1332 AD, nous rappelle, que les Arabes n’ont pas joué un grand rôle dans le développement initial de la « science islamique » : 
« Il est étrange que la plupart des savants parmi les musulmans qui ont excellé dans les sciences religieuses ou intellectuelles, ne sont pas Arabes, même ceux avec de rares exceptions près, et même ceux des savants qui prétendaient descendre d’Arabie, parlaient une langue étrangère, ont grandi sur une terre étrangère, et ont étudié auprès de maîtres étrangers ».


Toutes ces disciplines ne sont pas islamiques d’autant plus que la charia ne permet pas la liberté de pensée ou d’expression. Ce que le terme islamique cache en réalité, dénature et trompe, c’est le fait que tout ce qui est islamique veut, en réalité, dire arabisé.


Qu’est-ce que les musulmans, de différentes nationalités, de différentes cultures, de différentes races et ethnies et de traditions d’origines diverses possèdent en commun ? Ils croient en un homme arabe du nom de Mohamed prétendument un prophète d’Allah.


Qui donc est leur Dieu ? Allah, le nom du dieu suprême du panthéon des 360 dieux et déesses de pierres des Arabes païens de La Mecque dans la péninsule des Arabes des siècles avant la naissance de Mohamed.


Où orientent-ils leur kibla, direction de la prière 5 fois par jour ? A la Mecque, une ville prétendument sainte d’Arabie.


Quel est leur livre saint ? Le Coran un livre écrit en arabe par les Arabes, qu’ils doivent lire et réciter en arabe.


Dans quelle langue prient et supplient-ils ? Dans la langue des Arabes puisque Allah (l’inculte et ignorant) ne comprend que l’arabe, n’accepte pas les prières et les supplications dans des langues autres que l’arabe. Alors que la langue arabe elle-même n’est autre que du syriaque, dialecte de l’assyrien ou l’araméen.


Qu’imitent-ils servilement ? L’Arabe Mahomet et ses traditions arabes la Sunna.


Où vont-ils pour le pèlerinage Hajj et Omra ? A la Mecque ville arabe en Arabie.


Où vont-ils circumambuler [1] 7 fois pendant le pèlerinage à La Mecque ? À la Kaaba un sanctuaire arabe qui a été vénérée par les Arabes païens plusieurs siècles avant la naissance de Mahomet et de son Coran.


Quels vêtements les croyants musulmans de sexes males et femelles portent-ils ? Des vêtements arabes comme dicté par le Coran et la Sunna de Mahomet.


Quelles règles suivent les croyants ? La charia arabe écrite par des Arabes.


Quelles règles et traditions suivent-ils ? Les règles et traditions des Arabes dictées par la Charia de Mahomet.


Quels noms et prénoms les peuples conquis portent-ils ? Des noms et des prénoms arabes.


Quelles expressions pour se saluer, entre eux, utilisent-ils ? Des expressions arabes comme les Arabes.


Quand l’histoire de tous ces peuples conquis commence-t-elle ? Leur histoire commence à partir du jour où ils ont été subjugués par les Arabes parce que tout ce qui s’est passé avant est appelé jâhilîya, [2] peu importe leur passé glorieux.


Les Arabes, avec beaucoup de succès, ont totalement couvert leurs dossiers impérialistes frappés de termes islamiques, pour leur donner des dimensions ésotériques, divines sans attirer l’attention sur leurs conquêtes et leur hégémonie.


Nous sommes envahis par les écrits des érudits occidentaux et des érudits musulmans sur la civilisation islamique, l’art islamique, la culture islamique, la science islamique, l’architecture islamique, etc.
Pour commencer les hordes de bédouins qui venaient de la péninsule arabique au 7e siècle étaient des tribus analphabètes qui n’avaient aucune civilisation. Le lieu saint arabe appelé Kaaba était un bâtiment primitif, exigu et modique construit à partir de pierres empilées sans toit parce qu’ils n’avaient pas de bois pour en construire un. Aucune civilisation ne peut être créée à dos chameaux, les civilisations sont créées par des peuples sédentaires.


Les Arabes ont conquis, tué, asservi et converti des millions d’individus, par la force et autres moyens (djiziya, etc.) les non-Arabes sur 3 continents surmontant plusieurs des plus anciennes civilisations et empires du monde de ce temps, les Byzantins, les Perses Sassanides, les Berbères et les Égyptiens, les Ibères (de la Péninsule Ibérique), les Indiens, les Chinois et autres.


Les soi-disant sciences islamiques étaient entièrement fondées sur les connaissances basées et élaborées sur des civilisations anciennes grecque, romaine, perse, indienne, chinoise, assyrienne, égyptienne, amazighe, etc. dont les écrits étaient invariablement traduits en arabe par les peuples conquis et plus tard par les indigènes (les autochtones) convertis à l’islam. Quand on étudie la vie des scientifiques et érudits musulmans on constatera que la plupart d’entre eux étaient des mawalis convertis à l’islam et donc non Arabes.


Les plus grands contributeurs tant en sciences qu’en foi islamiques étaient issus de l’Empire perse. La majorité d’entre eux n’étaient pas des croyants fondamentalistes, mais des hommes mondains et séculaires (laïcs) et beaucoup d’entre eux ont été emprisonnés, exilés ou tués parce qu’ils n’obéissaient pas à la charia. D’ailleurs l’islam et les sciences sont antinomiques. En arabe, le mot connaissance est ilm ; la plupart des gens ne réalisent vraiment pas que dans l’islam comme le démontrent clairement les hadiths, la Sounna et le Coran de Mahomet, ilm ne signifie pas l’art ou la science, mais plutôt la connaissance du Coran et la Sunna et rien d’autre.


Les soi-disant arts et architecture islamiques sont des répliques des églises chrétiennes byzantines. Elles aussi ont été conçues et construites par le labeur des peuples sous domination islamique. Il suffit d’observer les coupoles des mosquées musulmanes ; elles sont presque identiques aux églises byzantines.


La musique, la poésie et la philosophie islamiques non d’islamiques que le nom puisque interdits dans la charia. Les musiciens, les poètes et les philosophes sous l’islam arabe étaient des hommes séculaires qui ont exercé sous les règnes de chefs et dirigeants tolérants et illuminés en dépit de la charia.


Actuellement, les États de l’Afrique du Nord se proclament arabes ; la majorité de leurs habitants ne s’interrogent même pas sur une déclaration absurde et totalement balourde et grotesque. Est-il logique ou possible que quelques milliers de conquérants arabes deviennent plus nombreux que les millions des personnes qu’ils ont conquises ?


Que sont devenus ces Égyptiens et ces Berbères autochtones et qu’est-il arrivé aux autochtones ? Ces millions de gens se sont-ils volatilisés pour être remplacés par les Arabes ? Évidemment non ; puisqu’il y a des dossiers et archives historiques qui mentionnent leurs batailles et leur histoire.


Ces peuples ont été conquis et arabisés, jusqu’à nos jours, par une colonisation qui dure depuis plus de 14 siècles. La colonisation arabe est la plus impérialiste la plus néfaste, la plus désastreuse, la plus longue et la moins utile dans l’histoire de l’humanité.


Les peuples conquis ont été forcés de se convertir en vertu de la djiziya (l’impôt onéreux de capitation). Ils avaient le choix entre l’asservissement, l’anéantissement, la décapitation, ou accepter l’islam et vivre comme mawali (c’est-à-dire clients des tribus arabes) ou comme dhimmis et payer la djizya.


Tout ce en quoi ces peuples croyaient, chérissaient et créaient a été arabisé. Les Arabes ont effacé leur histoire, ont interdit la pratique de leur langue et culture, ont détruit ou remplacé leurs temples par des mosquées arabes.


Les peuples conquis ont été forcés de porter des vêtements arabes, d’adopter les coutumes arabes comme prescrites dans la sunna de Mahomet, d’adopter les noms et prénom arabes. Leurs croyances ont été remplacées par l’islam arabe qui les a menés à l’abîme. La même chose a été faite pour les Perses, les Assyriens, les Indiens, les chrétiens, les bouddhistes, et tant d’autres.


Les Arabes n’avaient absolument rien à apporter à la culture des peuples conquis. Les Arabes musulmans comme leur mentor (guide) Mahomet excellaient en pillage, en plagiat, en piratage et en pervertissement, allant jusqu’à revendiquer comme les leurs, les concepts, les préceptes, les pensées, et les inventions de leurs sujets vaincus.


L’impérialisme arabe est le plus long, le plus parasite, le plus dévastateur culturellement et le plus néfaste dans l’histoire de l’humanité.
miss Nath Hamiche